Cette saison plus que jamais, un adage est apparu en NBA : Cleveland sans James ne serait qu’une équipe pitoyable qui lutterait avec les Heat, Wolves, Sonics & Grizzlies pour avoir le bonnet d’âne de la ligue. En effet, on a bien vu avant le all-star break que lorsque diverses blessures mettaient King James sur la touche, tous les Gibson, Hughes, Pavlovic, Gooden et Ilgauskas faisaient plus penser au PSG qu’à Arsenal ou au Real de Madrid.
Apparemment Jim Boylan, le coach des Bulls, est fan de la plus grosse honte du foot français et nous propose sa version NBA du chaos parisien en titularisant dans son cinq deux anciens joueurs de Cleveland, l’équipe qui n’arrivait à rien une fois James abîmé.
Larry « Luyindula » Hughes et Drew « Mendy » Gooden ne doivent pas y croire leurs yeux, car malgré la preuve qu’une équipe ne peut gagner avec eux deux ensemble sur le terrain sans l’un des deux meilleurs joueurs NBA aux alentours, le coach des Bulls veut concurrencer Isiah Thomas dans le rôle du coach qui a les moins bonnes idées tous sports professionnels confondus.
Donc exit du cinq le prometteur ailier fort Tyrus Thomas qui, malgré des bourdes parfois énormes a ce je ne sais quoi* qui peut faire basculer un match (à la Josh Smith), au profit du désormais vétéran Gooden qui ne fera pas long feu à Chicago.
Idem pour Larry Hughes au poste d’arrière à la place d’un Thabo Sefolosha excellent en titulaire mais actuellement blessé, qui pourrait perdre sa place dans le 5 majeur suite à une fulgurance de l’entraîneur.
Alors que l’équipe pourrait jouir d’un banc fantastique et aussi productif que l’équipe titulaire avec Gordon, Hughes, Nocioni, Gooden et Gray, l’éminence grise de Chicago a décidé de faire confiance à l’une des pires combinaisons de la saison semi-écoulée.
Cela doit bien faire marrer James, qui a juste à remotiver Ben Wallace pour créer la surprise et retourner en finale, jouant aux Celtics un coup aussi moche que les dégaines des membres du précédent Big Three de Boston (Bird, McHale & Parish)…
Le MVP 2007-08 a désormais un nom : Bryant.
Kobe « Mamba » Bryant a tout simplement torché une bonne équipe des Mavs pourtant rondement menée par d’excellents Kidd & Nowitzki.
52 points, 11 rebonds, 4 assist, 2 contres, 15-27 aux shoots et 20-27 aux lancers, c’était du grand art.
Alors qu’il peinait à convertir ses lancers en première mi-temps, Bryant s’est énervé et est revenu avec l’œil du tigre; puis a enchaîné les paniers et les lancers comme Angel Dark enfile ses amants...
La première dauphine de Kobe « Maria Sharapova » Bryant alias Miss NBA n’est autre que Lebron « Serena Williams » James, qui affiche des moyennes irréelles de 30 points 8 rebonds 7.5 assist 2 interceptions à 49% aux shoots et surtout détruit tout ce qui n’a pas pris le large à l’orée du quatrième quart temps. Dernière victime en date: les Chicago Cavaliers de coach Boylan, qui fait décidément plus du Albert Emon que du Eric Gerets…
* ça s’appelle des ailes...
(voilà un article US, en version originale, qui a inspiré la première partie de ce post.)
2 commentaires:
Voilà je m'en bats la chatte du Basket... mais j'ai vu ta photo et t'es carrément sexy
ton sourire est aussi bon qu'une eau d'iceberg
d'ailleurs j'aimerais bien voir ton stalagmite
Kissssssssssssssss
Naomi
Aou Aou, Naomi serait elle la belle capable de produire des dunghill?
Si oui, alors je signe.
Ungawa!
Enregistrer un commentaire