Pau Gasol faisait dans le Softcore à Memphis. Aujourd’hui, il donne dans le Hardcore et a prouvé qu’il a pris du vice aux côtés de Bryant, alias Black Mamba.Cette nuit, si Bryant a été très appliqué dans le prépondérant match 5 en y allant en douceur et s’occupant des préliminaires, c’est Pau qui a enfoncé son clou dans les dernières minutes, avec l’intelligence de ses passes, notamment pour un Odom très en verve, puis en prenant le rebond offensif (ok il y a peut être poussette dans le dos) à la barbe d’Okur et de Boozer, ce dernier plus en verge qu’autre chose dans cette série…
Rumeur à New York, D’Antoni voudrait la mettre profond à Starbury et l’envoyer aux Suns contre la paire de Phoenix qu’il apprécie : Diaw & Barbosa. Pas sûr cependant que les dirigeants Suns aient la même propension au coït anal que ceux des Grizzlies, bien servi avec l’affaire Gasol…
En parlant des coutumiers de l’extraction de Sloggi, Clara Morgane nous la joue Jordan version joueur de Baseball. La petite amie supposée de Lorik Cana, le capitaine volontaire de l’OM, ferait mieux d’imiter His Airness et de faire un retour fracassant dans le milieu qu’elle maîtrise le mieux plutôt que de paraître hors du coup dans cet environnement musical. Le clip ici…
Ci-dessous et également dans le coup de reins, voilà les plus belles accélérations de la saison 2007/08...
Hors sujet par rapport à l’intitulé du post, voilà pourquoi il m’est impossible d’aimer le personnage Lebron James, malgré le joueur grandiose qu’il est.
Dans la conférence de presse qui a suivi la défaite des Cavs sur le parquet des Celtics (match 5), le King Kong de Vogue, qui aime toujours autant parler de lui à la troisième personne, Alain Delon-Style, a sorti un théâtrale « Lebron James’s team is never desperate » avant de se lever et de quitter la scène.
Ce qui a provoqué la perle d’un Charles Barkley moqueur dans l’émission NBA on TNT: « What about the Cleveland Cavaliers? »...
Après un bon match dans lequel il a plus brillé collectivement qu’individuellement Kobe Bryant a déclaré dans la conférence de presse post-game avoir développé sa vision de jeu en jouant au foot (soccer) dans sa jeunesse.
Nash & Olajuwon ont toujours associé leurs succès à la pratique du ballon rond avec les pieds, et cette analogie corrobore le fait que ces deux sports peuvent être traités en connivence, et le seront sur ce blog...
Pour finir, je vous redirigerais vers un lien audio excellent, une interview entre John Canzano, le réputé meilleur chroniqueur sportif US, et Dr Jack Ramsay, un des plus grands coachs de l’histoire. Le vieil homme, 83 ans, parle de choses très intéressantes, entre autres du paradoxe Celtics (imprenables à domicile et fébriles à l’extérieurs) et de la plus grosse erreur de casting des Blazers, avec la sélection de Sam Bowie plutôt que celle de Jordan (Ramsay coachait les Blazers à l’époque)...
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